mardi 8 décembre 2020
Crooner's voices and jazzy rythms
mardi 1 décembre 2020
Teddy Bear's hug
Né au siècle dernier, en 1902, il y a 118 ans, la peluche a, depuis lors, connu la célébrité, en consolant tant de chagrins d'enfants ! Ses formes rondes, rassurantes, ses couleurs fidèles, ou non, à celles de l'animal original, font oublier que le modèle initial est une dangereuse bête sauvage. Longtemps chassé pour sa fourrure, ou par des "montreurs-dresseurs" de curiosités, l'ours a bien pâti de la main de l'homme.
Du gibier à la peluche, l'anecdote:
Cela commence tel un inventaire : Un président chasseur malchanceux , une anecdote de chasse à l'ours qui fait toute une histoire, la magnanimité du chasseur envers la victime, le respect des Codes de l'honneur de la chasse... puis la cynégétique a des conséquences inattendues. Et de Théodore Roosevelt (1858-1919) à Teddy, un acte de légende se met en place. Certes, la créativité réactive du couple ( Rosa et Morris Michtom)"inventeur" de Teddy Bear, en 1903, est déterminante.
Le nom de la ville de Berlin, (capitale et plus grande ville d'Allemagne), dont l'emblème est un ours sur son drapeau et dans son blason, fait référence à l'animal : Bär, Bârchen, Bärlein, Berlin.
A Berne : l'ours héraldique est présent sur le Blason de la ville.
A Madrid : L'ours est statufié sur la Plaza della Puerta del Sol : El Oso y el Madroño (l'ours et l'arbousier)
Le 9 septembre, aux USA, on célèbre la journée de l'ours: the Teddy Bear day .
Le rôle des peluches dans le quotidien de l'enfant: ami, confident, objet de consolation ( sensorielle par le toucher ( manipulation), aidant à l'endormissement et la séparation nocturne
Dans l'importante ménagerie des peluches, Teddy Bear a toujours tenu un rôle privilégié, préférentiel.
Déclinaisons, et vedettes internationales :
En chansons, en films, en dessins animés, en marionnettes, en BD, on retrouve le célèbre plantigrade au fil des ans, sur tous les continents. Héros d'aventures, toujours proche du monde des enfants, plus ou moins malin et sagace, il conquiert les plus jeunes avec aisance et tendresse. Pourtant, contrairement à l'anecdote de la création du personnage, on retrouve les côtés sombres du symbole, dans la fête éponyme ancestrale, chargée de transferts socio-culturels, historiques, festivité ancrée dans les us et coutumes qui ont franchi les siècles pour subsister jusqu'à nos jours.
La Pyrénéenne fête de l'ours/ en France , dans la région du Vallespir en Occitanie, ( La festa de l'os, à Arles-sur-Tech, à St Laurent de Cerdans et Prats-de-Mollo, dans les P. O. ) "l'ours", sorti de sa forêt pour descendre au village est symboliquement chassé, attrapé,jugé, chaque année à la fin de l'hiver. Cette animation, est un vestige de l'époque médiévale, et peut-être même antérieure, qui condense légende, anecdotes cybernétiques, paganisme et croyances, exorcisme et maîtrise de peurs ancestrales, morale, rapports complexes entre le monde animal et celui des humains.
Nounours vedette de série TV enfantine :
https://www.youtube.com/watch?v=sqcDY19VuGU
Colargol, l'ours chantant:
https://www.youtube.com/watch?v=eL9l_W1YadI
Winnie: (avec la voix française du regretté Roger Carel)
https://www.youtube.com/watch?v=SdyDaCT5gp4
Michka: cf les contes russes
Paddington:l'ourson qui a sa statue en gare de Paddington.
Des Carpates aux monts franco-ibères: La réintroduction de l'ours,comme celle du loup, fait débat. Mais les enfants, loin des graves problèmes des adultes, (et de leurs réelles motivations, enjeux personnels ), ne voient la vie qu'à travers leur imaginaire, leurs rêves fragiles, en une période si brève de leur existence, qu'il est hautement répréhensible de les en priver. Alors, oui, un ourson en peluche est un important personnage. Même un peu délavé, décousu, trituré, fripé, il n'en a que plus de valeur. S'il pouvait parler, il pourrait narrer bien des malheurs enfantins, tous ces chagrins que les adultes ne voient pas, ne veulent ni entendre, ni croire, parce qu'ils les jugent futiles, passagers, ou, tout simplement, parce qu'ils ont oublié leur propre enfance, et leur attachement à cet animal en peluche que l'on nommait: Teddy Bear .
Free lance Writer
Culture Art Patrimoine
samedi 21 novembre 2020
Egypte: quand l'Eternité refait surface ...
La récente découverte de sépultures de la haute antiquité met en ébullition le monde de l'archéologie et de l'Histoire . On exhume les vestiges, d'un passé pharaonique qui interpelle à plusieurs niveaux :
- la confirmation de la localisation des sépultures
- la connaissance de l'identité des défunts
- la décoration des sarcophages.(figurations, inscriptions)
- l'art funéraire (rites, étapes d'embaumement)
Saqqarah : Dr Hawass :
Si les "rives du Nil" recèlent des trésors, il ne faut pas prendre l'expression au sens propre. Trop de pilleurs de tombes s'y sont précipités et fourvoyés. Le joyau véritable de ces hauts lieux de mémoire c'est la mine de renseignements légués à travers chaque nouvelle découverte. En effet, comment approcher au plus près les peuples de l'Antiquité, si ce n'est grâce à tous les témoins concrets de leur quotidien, de leurs us et coutumes, de leurs rites, de leurs écrits ? Les millénaires ont certes coulé, apporté leur lot de technologies permettant des investigations sophistiquées et efficaces, mais l'humain, lui, est resté fidèle à lui-même : avec ses peurs, ses joies, ses faiblesses et sa grande force. Cela insuffle (devrait insuffler ??) une bonne dose d'humilité, et de respect, à la recherche. Hors des phénomènes de modes ( XVIIIe, XIXe siècles), où des outrances furent commises, par appât du gain, par exploitation de la crédulité, mais surtout par le manque de connaissances et d'informations sérieuses, l'époque actuelle doit miser sur l'authenticité, la clarté des données . Cela implique nécessairement, en contrepartie, un soin spécifique accordé au traitement objectif des relevés, à leur diffusion, à la protection et sauvegarde des sites. Eclaircir la notion de patrimoine s'inscrit en filigrane dans cette démarche globale. Comment définir et distinguer, même si des organismes tranchent la question : patrimoine local, national, mondial ? A l'heure de la problématique des restitutions, l'antériorité, les enjeux, cèdent-ils la place à la légitimité ?
Pour les pharaons, le départ vers l'au-delà était ponctué par diverses manifestations rituelles, par un accompagnement de matériel précieux, et conséquent. Le lieu de sépulture conservait ses mystères, ses codes complexes , ses nombreuses précautions. Car la perspective de l'Eternité n'était revendiquée qu'à ce prix. Au XXIe siècle, les sarcophages refont surface. S'ils apportent avec eux la surprise de la découverte, le projet d'études utiles et intéressantes, ils sont encore porteurs de questions légitimes sur la vie et l'au-delà.
Sous l'oudjat d'Horus,bien longtemps après les incantations du Livre des Morts, Ré a vu sortir de l'ombre les sarcophages renfermant des corps endormis sous des mètres de terre et sous le poids des siècles. Les années qui viennent, avec leurs outils et leurs pratiques high tech, sauront les faire parler. Des existences vont émerger, prendre sens, et surtout livrer leur identité. C'est à l'homme contemporain d'en tirer du savoir, des enseignements, afin de mieux approcher l'histoire de ceux qui l'ont précédé.
Free lance Writer
Culture Art Patrimoine
mercredi 11 novembre 2020
L'art : à cultiver , à partager .. quand même ..
Comme la Culture, l'Art se cultive et se partage. Actuellement , même si les deux secteurs semblent être en sommeil, en berne, en danger, quelques tisons brûlent encore sous la cendre. Il est vrai qu'il est particulièrement difficile d'être créatif, performant, en période où toute manifestation culturelle publique est condamnée.
La comédienne Sarah Bernhardt avait choisi, en son temps une devise qui en disait (et en dit encore) bien plus long que les deux mots contenus.
Cependant les artistes sont là, confinés, certes, mais avec foi et espoir dans la pratique de leur talent. Alors oui, l'on peut écrire, composer, interpréter, dessiner, peindre, sans public ou pour un public virtuel." Agir, créer pour exister": la formule n'est pas nouvelle. L'art a souvent été au ban des accusés au cours des siècles, car: "il ne nourrissait pas son homme ", donc les artistes étaient souvent assimilés à des traîne-misère:
- les comédiens étaient excommuniés (depuis le IVe jusqu'au XVIIIe siècle)
- les musiciens étaient payés chichement, donnant des leçons, en plus de leurs concerts, afin de subsister
- les compositeurs ne recevaient pas de droits d'auteurs. Ils dépendaient de riches mécènes souvent exigeants, fats, et capricieux
Peintres, sculpteurs, connaissaient les mêmes difficultés matérielles. En lisant leurs biographies respectives, l'on est frappé par l'indigence pécuniaire de bon nombre d'entre eux. Si le XXe et le XXIe siècles ont amélioré la reconnaissance du statut social artistique, on constate encore des difficultés à faire valoir ses droits lorsque l'on est artiste.
La création artistique implique l'exposition et le partage. Ne pas craindre le regard et le jugement de valeur du spectateur est un nécessaire pas à franchir. L'artiste reclus, seul dans son coin, drapé de fausse vanité, accède rarement à la notoriété. Sans prétendre à l'attribution du terme: génie, une simple reconnaissance, du statut de créateur, est indispensable à la poursuite d'une carrière. Alors, oui l'époque est aussi sombre que confuse,. Et l'on s'appuie sur les acquis anciens pour en forger de nouveaux, comme l'ont fait les générations précédentes. Les bases du classicisme ont engendré l'art nouveau, contemporain, et ses déclinaisons. En regard du passé (erreurs, leçons, références...???) les questions fusent, et ne peuvent être évitées. Tenter d'y répondre constitue déjà une réponse. Certes les incohérences, les décisions des hautes instances, sont parfois à redouter, car l'on se projette et l'on craint pour l'avenir.
Paris: L'Ecole Boulle, L'Ecole du Louvre, L'Ecole des Beaux-Arts, la Comédie Française
La Culture, l'Art, et le Patrimoine, ont trop souvent fait les frais des bouleversements de l'Histoire. Soutenir ce pan majeur de toute civilisation, c'est, en effet, faire un choix. Mais c'est également une action vitale pour maints secteurs de l'activité humaine. Si des carrières sont en péril, des vocations sont en jeu. Il est regrettable que, pour certains, tout cela ne présente aucun intérêt, ou, à contrario, un maximum. L'incertitude actuelle doit-elle nécessairement engager le devenir des générations suivantes? Alors :
- Tous artistes grâce à Internet ?
- Le virtuel au secours de la création ?
- L'art doit-il s'inscrire dans la durée ou dans l'éphémère ?
A revoir:
Les cours de philo sur : le Beau, la créativité , leur rôle dans la vie humaine,
Free lance Writer
Culture Art Patrimoine
lundi 28 septembre 2020
Du portulan au GPS
La sédentarisation humaine ne s'est mise en place qu'après maintes étapes. Les premiers groupes d'hominidés se déplaçaient pour de multiples raisons: les changements climatiques, la présence ou absence du gibier, les conflits avec les autres groupuscules, la recherche d'un lieu de vie plus favorable à la sécurité et aux conditions quotidiennes des individus... Aller vers l'inconnu requiert quelques repères impondérables. Les premières références furent les astres, ce qui demandait une observation, une connaissance, des déductions.. Acquisitions qui prirent un certain temps .. La transmission orale fut pendant longtemps la seule façon de passer les informations d'une génération à une autre, avant d'avoir le réflexe, l'idée de laisser trace sur un support (paroi murale, écorce d'arbre, pierre, peau tannée d'animal...) Les premières représentations d'une carte stylisée du ciel se firent ultérieurement sur un disque de métal
Ex : celui de Nébra , celui de Chevroches, celui de Knowth
Se déplacer impliquait l'emprunt de voies diverses: sur les ondes, par les chemins La navigation sur les eaux, comme le cheminement terrestre nécessitait des points de repères. Remonter un fleuve, ou descendre une rivière furent rapidement des entreprises assez aisées. Le transport maritime demanda plus de précautions. Avant d'entreprendre de grandes traversées, le cabotage fut de mise, car il permettait de suivre une côte sans la quitter des yeux, et de compter les tours à feux qui indiquaient les entrées des ports abrités, ou les écueils à éviter.
Quelques siècles plus tard on en vint alors aux cartes, sur des supports évoluant avec les époques : de la peau d'ovin au velin, au parchemin, puis au papier... Les portulans précèdent, complètent, l'usage de la boussole puis du sextant. Au fur et à mesure des connaissances et des découvertes, les détails dessinés envahissent les documents: animaux, rose des vents avec points cardinaux, noms de lieux, courants marins ...
Les cartes marines deviennent de plus en plus précises, le sonar, le radar, sont les prémices d'une haute technicité qui, si elle n'évite pas les accidents, en réduit considérablement le nombre. Les moyens de transports se multiplient, la vitesse s'accroît. Le réseau des voies de communication tisse sa toile de voies principales augmentées de voies secondaires, de bretelles, de panneaux de signalisation.. Depuis les bornes milliaires romaines , dont certaines sont encore visibles sur le tracé des voies antiques, la circulation s'est organisée autour d'un code et de règles à respecter. La fluidité du trafic et la sécurité des usagers en dépendent. Pourtant, à contre-courant de cette accélération généralisée des déplacements (plus loin, plus vite, plus souvent) une résurgence de la déambulation pédestre connaît un renouveau "tendance": ce sont les voies des pèlerinages médiévaux. Authentique pérégrination en adéquation avec le sens étymologique, ces randonnées comportent de longues étapes, et ceux qui les franchissent le font pour des raisons diverses, outre le but initial.
La "rando" associative, en famille, en solo, permet la redécouverte de chemins oubliés, peu fréquentés et remis peu à peu en état pour une meilleure utilisation, et fréquentation. Marcher, ( ou "le syndrome de La Gradiva" ) est désormais perçu, au XXIe s.comme moyen de garder la forme physique et la santé. La contrainte fait place au loisir.
Yves Montand " le routier" :https://www.youtube.com/watch?v=HGXkvna5WXQ
La conduite des véhicules personnels, comme celle des moyens de transports en commun, et des utilitaires, a vraiment franchi un palier avec l'invention du GPS (Global Positioning System) . L'appareil a pour vocation le guidage, le remplacement des cartes routières, et diverses indications indispensables (très utiles) aux déplacements, pour trouver une adresse, une place de parking, pour une visualisation anticipée du trajet ... Parfaitement intégré au tableau de bord ou en application sur téléphone portable, les données GPS informent le conducteur. En randonnée, il a toute son utilité pour l'itinéraire à suivre en évitant de se perdre.
Que l'on soit piéton ou automobiliste, seul ou en groupe, l'essentiel est de savoir où l'on va, pourquoi l'on s'y rend, comment l'on va y aller. (cf "Où vais-je ? "B. Pascal) Si, depuis des millénaires l'homme a cherché à améliorer, à mémoriser les trajets de ses déplacements, il subsiste, néanmoins, quelques questions philosophico-métaphysiques sur son cheminement personnel auxquelles il n'a toujours pas trouvé de réponses.
A lire sur ce même blog :
http://international-culture-blog.blogspot.com/2013/03/813-2013-santiago-de-compostela.html
Free lance Writer
Culture Art Patrimoine
jeudi 10 septembre 2020
Nature et futur
Détruire, salir, est à la portée de n'importe quel individu, n'importe où, et à n'importe quel moment. Même un enfant solitaire peut en faire un jeu.
Or, construire , rebâtir, consolider, créer, assainir, développer, améliorer, impliquent plus qu'une volonté spécifique. Loin d'idéologies de récupérations ou de moralisation facile, on peut néanmoins avancer, et s'adonner à une réflexion utile, sur les conditions de vie contemporaine, en faisant non pas "table rase" du passé, mais en laissant émerger quelques salutaires erreurs, afin de ne pas les perpétuer. La Culture a longtemps fait les frais de restaurations abusives et maladroites, par ignorance, manque de savoirs et de savoir-faire, faute de moyens. Le XXIe siècle se voulant savant et informé a pris du recul et n'hésite pas à constituer d'épais dossiers avant d'entreprendre une quelconque réhabilitation. Même si la situation n'est pas à son meilleur rendement, on peut constater des améliorations, de réelles bonnes volontés, des semeurs d'alerte, évitant de déplorables mises au rebut, des ventes abusives, des constructions inappropriées, ou de regrettables abandons (vouant des espaces aux jachères et harmas).
Bretagne nature:
https://www.bretagne-vivante.org/L-association
https://natturuvernd.is/G%C3%A6tum-gar%C3%B0sins
The Nature Conservancy:
https://www.nature.org/en-us/about-us/where-we-work/latin-america/mexico/
A lire également, sur ce même blog: Plastic Blues:
http://international-culture-blog.blogspot.com/2019/11/plastic-blues.html
Photo: N-L. M. (Narbonne /11-7- 2020) |
Culture Art Patrimoine
mardi 1 septembre 2020
Quand la Culture n'est plus culte ...
mercredi 26 août 2020
Mégalithes : le défi.
Lieux exceptionnels de dévotions rituelles, lieux de mémoire des ancêtres, lieux de rassemblements de tribus: les interprétations sont intéressantes et multiples. Chaque nouvelle découverte archéologique, in situ, apporte son lot d'informations, de propositions de réponses, et de théories .
De la Sardaigne (Nuragiques), à l' Ecosse, de la France à la Baltique, jusqu'à la Corée, nombreux sont les exemples des occupations du terrain par les mégalithes.
Exposition : Mégalithes d'ici, mégalithes d'ailleurs
https://www.unige.ch/public/evenements/exposition/seu/expo-actuelle/megalithes/
Certes, le mobile de la recherche est l'avancement: des résultats, des trouvailles inédites, de l'amélioration des conditions de l'existence. Mais cela induit inévitablement des réflexions sur un mode de vie contemporain rattrapé par le goût excessif du changement, de la nouveauté à tout prix, dans :
l'obsolescence programmée, l'éphémère relationnel, le tout jetable, la qualité frelatée, la mode express, les constructions fragiles. Qu'en est-il en regard de ces témoins millénaires que sont les mégalithes ?
Free lance Writer
Culture Art Patrimoine
lundi 20 juillet 2020
"Nietzsche a dit ... "
Souvent cité comme auteur de phrases en forme de maximes,d'aphorismes, le philosophe Friedrich Nietzsche (1844-1900) sert de "ponctueur" à maints propos dans les joutes orales qui se veulent savantes...Cependant derrière la boutade se cache le parcours d'un auteur, souvent controversé, dont les écrits sortis de leur contexte pouvaient, lorsqu'ils étaient, en certaines circonstances, "récupérés " ou réorientés", perdre leur sens initial.
Or, en ce XXIe siècle, on pourrait se demander :
"mais que reste-t-il de la pensée Nietzschéenne ?"
https://www.youtube.com/watch?v=RRhSFN4bFCs
Venise:en automne, et au printemps ( années 1880,1884,1886,1887)
Sils Maria:en été (années 1881,1883 à 1886)
Nice:en hiver (1883,1884,1887,1888)
Dans la tête de F. Nietzsche se bousculaient donc des idées, des notes de musique, mais également ces maux, qui dès l'adolescence (17 ans) l'assaillirent, et lui infligèrent une fin de vie triste, douloureuse, et difficile. La recherche médicale actuelle émet des hypothèses sur l'origine et la cause de cet état (bipolarité, syndrome de l'effondrement, folie,...) sans occulter le possible impact de l'hérédité.
Fabrice Luchini: ("les déglingués de la littérature")
https://www.youtube.com/watch?v=jCsphUfP3PU
Les philosophes contemporains : Pourquoi faut-il lire Nietzsche aujourd'hui?
https://www.youtube.com/watch?v=_xb8jVG8bcM
Pour en savoir davantage:
https://www.les-philosophes.fr/auteur-nietzsche.html
Richard Strauss (poème symphonique op30/1896 Also sprach Zarathustra) :
https://www.youtube.com/watch?v=l733P-O6Qac
Free lance Writer
Culture Art Patrimoine