Chaque pays a une histoire particulière avec ses héros, ses personnages hauts en couleurs, ses faits divers, ses luttes, ses victoires, qui ont peu à peu façonné les nations actuelles. Pourtant au XXIe siècle, rien n'est figé. Les peuples, comme les instances gouvernementales, aspirent, certes, aussi bien à la stabilité qu'à la paix. Mais chacun est conscient de la fragilité des situations.
Au cours des siècles précédents, ont progressivement été mis en place, des systèmes, des lois, des procédés qui régissent les états. Des monarques, des ministres, de hauts fonctionnaires ont œuvré pour cela, sans avoir forcément l'adhésion immédiate , ou la compréhension du peuple qui jugeait les mesures excessives et impopulaires. L'époque médiévale, importante et longue charnière entre l'Antiquité et la Renaissance , a vu nombre de souverains, entourés de leurs conseillers respectifs, tenter de prendre en main la direction et la gestion de pays, dont la société était en pleine mutation.
Le royaume de France fut alors le théâtre de maints événements, qui le secouèrent dramatiquement.
L'histoire en a retenu quelques graves et tragiques épisodes, (arrestation des Templiers, Juifs pourchassés, visite au Pape Bonifacio VIII à Anagni...) dont certains aspects ont subi les lacunes du temps, les déformations des opinions, malmenées par la transmission, au cours des décennies, et des regrettables reprises d'erreurs d'interprétation des faits. Le règne de Philippe IV le bel en est un exemple. La tâche de l'historien est alors évidente, même si elle n'est pas simple.. A la lumière de nouvelles études, et à la lecture plus précise de certains documents, quelques opinions erronées et quelques idées toutes faites peuvent être balayées au profit de nouvelles théories.
Plusieurs initiatives, menées par diverses structures ( universités, associations, sociétés savantes, ...) s'attellent à ce travail élaboré autour d'études, de concertations, de confrontations de travaux, afin d'avancer dans les recherches.
Deux journées pour un colloque :
- Vendredi 29 novembre 2013 à Montpellier -(site universitaire Saint Charles)
- Samedi 30 novembre 2013 à Nîmes (Carré d'art )
La royauté capétienne et le midi au temps de Guillaume de Nogaret
Au cours des siècles précédents, ont progressivement été mis en place, des systèmes, des lois, des procédés qui régissent les états. Des monarques, des ministres, de hauts fonctionnaires ont œuvré pour cela, sans avoir forcément l'adhésion immédiate , ou la compréhension du peuple qui jugeait les mesures excessives et impopulaires. L'époque médiévale, importante et longue charnière entre l'Antiquité et la Renaissance , a vu nombre de souverains, entourés de leurs conseillers respectifs, tenter de prendre en main la direction et la gestion de pays, dont la société était en pleine mutation.
Le royaume de France fut alors le théâtre de maints événements, qui le secouèrent dramatiquement.
L'histoire en a retenu quelques graves et tragiques épisodes, (arrestation des Templiers, Juifs pourchassés, visite au Pape Bonifacio VIII à Anagni...) dont certains aspects ont subi les lacunes du temps, les déformations des opinions, malmenées par la transmission, au cours des décennies, et des regrettables reprises d'erreurs d'interprétation des faits. Le règne de Philippe IV le bel en est un exemple. La tâche de l'historien est alors évidente, même si elle n'est pas simple.. A la lumière de nouvelles études, et à la lecture plus précise de certains documents, quelques opinions erronées et quelques idées toutes faites peuvent être balayées au profit de nouvelles théories.
Plusieurs initiatives, menées par diverses structures ( universités, associations, sociétés savantes, ...) s'attellent à ce travail élaboré autour d'études, de concertations, de confrontations de travaux, afin d'avancer dans les recherches.
Deux journées pour un colloque :
- Vendredi 29 novembre 2013 à Montpellier -(site universitaire Saint Charles)
- Samedi 30 novembre 2013 à Nîmes (Carré d'art )
La royauté capétienne et le midi au temps de Guillaume de Nogaret
Le colloque se
propose de traiter d’un thème qui n'a pas été très fréquemment abordé. Ce dernier garde donc de
nombreuses zones d’ombre et interpelle par sa problématique, d’autant plus que
de nombreux documents, faute de temps,
n'ont pas été encore dépouillés, ni étudiés par les spécialistes. C'est pour cela que le
sujet appelait une réflexion et un débat. Ce colloque ne s’est pas fixé pour but
l’élaboration d’un ouvrage spécifique collectif, mais comme le précédent (celui
de janvier 2012 à Nîmes): une publication
d'Actes. Dans cette continuité, il s’agit plutôt de mettre en exergue quelques
éléments de la vie personnelle et professionnelle de Guillaume de Nogaret,
ainsi que de porter un éclairage nouveau sur la vie politique en Languedoc au
XIVe s. Les différents intervenants du colloque, qui se sont déjà livrés, individuellement, à maints travaux, en feront part, au cours de ces deux journées,
ainsi que de leurs remarques, et de leurs interrogations. L'étude doit être située dans son contexte
historique permettant de mener une réflexion sur des problématiques en rapport avec
la suite de la recherche, la
signification, les objectifs, la diffusion auprès des étudiants et du
grand public. En cela, le colloque se veut une occasion, pour les participants,
de communiquer, de présenter, d’échanger, les
savoirs et les méthodes liés à l'étude de l'histoire médiévale, de façon générale.
Programme détaillé et renseignements supplémentaires :
Freelance Writer
Culture Art Patrimoine
Programme détaillé et renseignements supplémentaires :
Voir également, sur International Culture Blog , les 2 articles consacrés au précédent colloque ( janvier 2012)
http://international-culture-blog.blogspot.fr/2012/01/guillaume-de-nogaret-en-janvier-2012.htmlFreelance Writer
Culture Art Patrimoine
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